vendredi 27 juin 2014

L'INDIEN D'AMERIQUE

Ariste : Un homme-enfant rêve de battre le plus fort alors que
le seul choix rationnel est celui de Pascal : Article le + récent de l'auteur  sur ce thème ici 

La science d'un prédateur est fondée sur un simple pari qui est loin d'être scientifiquement gagnant. L'homme parie en effet depuis toujours sur sa conviction d'être le plus avancé en évolution dans l'univers entier. Il jurera bien qu'il n'a pas fait un tel pari, qu'il n'exclut pas que d'autres civilisations extraterrestres nées planétairement comme lui-même aient pu le dépasser pour se métamorphoser avant lui en nomades cosmiques. Mais ce discours politique qui ne l'engage absolument pas est contredit par son vrai comportement terrestre qui l'engage bien davantage et qui affirme cette fois universellement et sans ambiguïté que l'homme se considère bien comme le plus fort et qu'il ne pourrait en aucun cas accepter une loi extraterrestre : de même que l'Indien d'Amérique qui pouvait prétendre être le plus fort avant l'arrivée de son exterminateur blanc. 

L'expérience de l'Indien est ignorée par un homme mis à son tour en danger d'être lui aussi exterminé par suite d'un comportement tout aussi incohérent : il s'obstine à parier contre une prééminence extraterrestre statistiquement bien plus vraisemblable que la sienne et qui ne pourrait en aucun cas accepter son modèle potentiellement dangereux d'évolution ! 

Une loi naturelle et par là scientifique a bien été bafouée par l'Indien tout autant que par une espèce entière qui s'apprête à son tour à en subir les conséquences. En dissimulant depuis des millénaires et par tous les moyens concrets et virtuels la prédation dégradante pratiquée par l'idéologie dominante (esclavage, colonisation, capitalisme, ...), le facteur le plus vital d'une évolution intelligente (la loi cosmique du plus fort et du plus sage) a été consciemment ou non ignoré par une science servile.


L'Allégeance Cosmique ou l'Apocalypse.

Cette loi cosmique naturelle s'énonce ainsi : Quiconque viendra de plus loin, en l'occurrence le voyageur extraterrestre (ou Dieu), sera le plus fort et le plus sage. Il ne laissera donc personne, en l'occurrence l'homme, faire plus de la moitié du chemin à sa rencontre sans lui imposer discrètement ses conditions dans un silence cosmique le plus total : une démonstration de noblesse envers la vie locale ou la mort. Un homme enfermé planétaire se préparera déjà à une allégeance cosmique envers tout visiteur potentiel avant d'aller à son tour annoncer la même loi à d'autres prisonniers de son voisinage interstellaire. 

Une science servile ignorant l'expérience de l'espèce est une "Ligne Maginot" ou un château de cartes qui ne protégera jamais l'homme s'il n'est pas l'être le plus avancé dans l'univers : une hypothèse que les données actuelles rendent plus que vraisemblable. Cette science maintiendra au contraire l'homme dans la position précaire de l'Indien d'Amérique. 

Un Indien ou un homme devenu intelligent et conscient se préparera d'avance à une allégeance de modèle gigogne s'intégrant au mieux dans un modèle cosmique de vie nomade pour lequel il ne représentera plus aucune menace potentielle. Prisonnier planétaire, l'homme n'a de toute façon pas d'autre choix cosmique. Ce modèle gigogne d'allégeance extraterrestre de l'espèce est aussi fort heureusement celui d'une perfection de noblesse.   


L'homme pariera sur une prééminence extraterrestre plus vraisemblable que la sienne
et contrôlera son évolution par une science intégrant aussi sa propre expérience !  



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mercredi 11 juin 2014

Un apatride planétaire.

Ariste : Un homme-enfant rêve de battre le plus fort alors que
le seul choix rationnel est celui de Pascal : Article le + récent de l'auteur  sur ce thème ici 

Réfugié entropique, un homme à la recherche d'une vie durable attend comme toute victime de la prédation planétaire qu'un espace auprès d'un point d'eau lui devienne enfin accessible, en Sicile, au Mexique, à Calais, ou ailleurs. Repoussé par de précédents réfugiés installés aux meilleurs postes, son enfermement d'apatride terrestre est chaque jour rendu plus précaire. Il sait pertinemment bien que son écosystème ne pourra longtemps tolérer une présence humaine animale et prédatrice. Autour des points d'eau, tous les espaces terrestres de vie durable ont en effet des portes de mieux en mieux verrouillées, tenues par des robots de plus en plus sobres face à des réfugiés entropiques par nature trop voraces. Réduit donc à circuler sans cesse dans les couloirs d'un labyrinthe d'enfer, l'apatride planétaire est acculé devant la porte d'un grenier cosmique qu'une science servile n'a jamais vraiment essayé d'ouvrir. En bons prédateurs, des oligarques de plus en plus riches ont encombré l'issue de secours de leurs butins terrestres, se condamnant stupidement à se laisser piéger avec l'espèce entière. Des hommes intelligents se laisseraient-ils entraîner dans ce suicide collectif de l'espèce, emmenés comme des moutons par les plus forts de leurs semblables à un abattoir d'Apocalypse ? Non !


Une exigence d'anoblissement des espèces planétairement enfermées 
pour apaiser les douleurs d'une renaissance cosmique.  

L'homme défie le cosmos en cultivant une force sans sagesse. Une transcendance de vie durable est pourtant plus rationnelle que son pari de prééminence impliquant la mort pour toute vie avancée, dont en premier lieu la sienne. Devant des milliards de foyers possibles de vie dans l'univers, pourquoi ce pari de prédateur excluant toute vie qui l'aurait dépassé ? Furtif dans sa prédation des plus faibles, il n'admet que du bout des lèvres l'hypothèse de voyageurs en leur posant aussitôt une condition inacceptable : qu'ils renoncent pour leur part à toute furtivité pour l'aborder et soient donc par là implicitement complices de sa prédation locale de l'univers ! Pourquoi sinon s'attendre à autre chose qu'un silence de réprobation de leur part ? L'homme ne leur laisse que le choix d'une guerre permanente qu'il entretient déjà dans son écosystème, ou de cet effacement dans la non-violence ! Des êtres plus forts et plus sages auront naturellement choisi ce noble effacement en apartheid cosmique. 

Un permis cosmique de transcendance pour conduire l'espèce  
d'un colonialisme de véritable enfer terrestre à un nomadisme cosmique de noblesse

L'espèce est mise en demeure de choisir : une métamorphose d'évasion interstellaire ou une longue descente aux enfers ponctuée de suicides plus ou moins ratés, pour réussir inévitablement le dernier. Un mois lunaire lié à la vie (flore, marées, cycle féminin, semailles, taille des arbres, greffes...) invite pourtant à un autre pari : la grossesse d'une conscience individuelle suivie par celle d'une conscience collective de l'espèce entière et finissant par sa renaissance nomade ou son avortement (sur)naturel


A l'horloge de pointage cosmique : une espèce anoblie ou mourante

Soit une Voie Lactée peuplée de P foyers planétaires enfermés croissant de Q=(naissances-morts & évasions/an) avec une espérance moyenne de vie H=P/Q : ce bassin de vie galactique livré aux caprices de milliards de petits ruisseaux formant un fleuve de débit Q s'autodétruira si un niveau moyen P=QH avec H=Q n'est pas imposé. Soit pareillement une humanité (p) croissant de (q)=(naissances - décès/an) et une espérance vie h=(p/q) : L'espèce s'autodétruira aussi sans une croissance également partagée entre les hommes. Le rapport actuel h=(p/q) ~ 95,9 ans ne reflète que l'espérance vie des dominants, prédateurs depuis toujours des dominés.

Son enfermement planétaire met l'espèce en demeure de mourir sur place ou de s'évader noblement. Comme l'oiselet, elle sortira de son œuf planétaire à temps pour renaître.  Mais elle préparera auparavant son nid à la naissance d'une héritière, à partir de primates déjà là pour prendre la relève (hominisation de primates) : une conscience potentielle trouvée sur place en naissant sera ainsi transmise en héritage à une nouvelle espèce, comme à l'enfant dans son berceau.

Trop de hasards tuent le hasard : Le message éternel d'un rythme cosmique de vie.
Un déluge planétaire de renaissance après Ф = 10000 ans !

Notre espèce est vraiment née il a 10000 ans, après un basculement climatique si brutal qu'un chercheur l'a comparé à un lancement "par un appui sur un bouton" ! Le hasard explique en effet mal un facteur Ф=10000 ans cohérent, comme on le verra ci-dessous,  avec " l'âge" de l'univers et celui de la Terre, la vitesse d'expansion des galaxies et celle de la lumière, l'unité astronomique (UA), Pi ... 

On pariera sur un modèle féminin de procréation d'une espèce sortant du ventre de sa planète (cycle de 10000 ans) de même qu'un enfant sortant du ventre de sa mère (cycle de 9 mois). Comme chez la femme encore, une planète en âge de procréer pourra connaître des accouchements ou des avortements cosmiques successifs. Des traces d'avortements cosmiques peuvent déjà exister dans notre propre système (sur Mars, Vénus...) et nombre d'étoiles et de planètes seront à priori hostiles à la vie. Comme l'homme confiant à l'enfant le soin de perpétuer la vie, une espèce responsable (la nôtre demain ?) ne mourra pas sans laisser à la vie primitive toutes ses chances de reprendre de plus belle après elle.

Un univers local
 à population contrôlée par prédation chez les bêtes 
et une vraie conscience cosmique chez les êtres. 

Un prédateur terrestre s'obstinera en vain

Un contrôle cosmique intelligent Ф/(Π-2) avec Ф=10000 et  Π-2=24(1/24) : A terme, la conscience de l'humanité exigera d'elle un contrôle strict de sa population : une menace de mort jusqu'ici ignorée malgré une surpopulation terrestre croissante. L'irresponsabilité collective n'éveille en elle "qu'une réaction d'autruche devant le danger" malgré des alertes inquiétantes relevées de plus en plus fréquemment dans tous les domaines (HANDYLe MondeNatureNASA, La Pravda, etc.)

Un homme aujourd'hui de plus en plus prédateur de sa propre espèce se heurte pourtant déjà à un défi cosmique de métamorphose ou de mort à court terme. Confirmé dans chacune des équations suivantes, le pari d'un univers conscient rythmé suivant des cycles (sur)naturels bien reconnus de renaissance cosmique ou de suicide apocalyptique peut répondre à cette attente de salut. 
   
Issu d'un bassin d'étoiles (la Voie Lactée), le compteur galactique d'un filet de conscience contrôlant l'évolution de notre espèce sera comme les autres compteurs galactiques ainsi calibré :

                          (Un compteur déversoir)
Ф/(Π-2)=8759,73. Des compteurs d'heures par an. Ф/(Π-2)=1 an en heures. Un constat curieuxФ/(Π-2) ~ 24x365=8760.

Ф/(Π-2) : le choix arbitraire d'un facteur égalant par pur hasard le total des heures annuelles ?  L'exemple du barrage est mieux approprié : le débit voulu de sa lame d'eau dépend de la hauteur d'un bassin P ("rempli" ici d'étoiles).

(Π-2)Ф, : des données d'un monde réel.
Ces équations annoncent un univers conscient "cultivé" par des 
générations d'ascendants cosmiques d'une chaîne sans fin 
d'apartheid que l'homme est invité à rejoindre, vers une
perfection à entretenir dans un Univers Global Infini.  

"Le Quantum Humain" d'une noble entité quantique : Comme la lame d'eau sauvage formatée et apaisée au barrage avant d'aller fertiliser la terre plus loin, une espèce sauvage et prédatrice sera formatée et anoblie à un barrage cosmique en une seule lame de "quanta insécables de conscience" : l'Apocalypse ou la Renaissance de l'espèce toute entière en êtres virtuels d'une entité quantique. L'individualisme animal disparaîtra ainsi à ce stade de l'évolution d'une vie consciente. Avant d'aller porter la vie toujours plus loin dans un monde nomade de création éternelle, une humanité responsable remettra en ordre sa planète native et fécondera à son tour sa propre bio-descendance à partir de primates terrestres encore là malgré une quasi extermination. 

Un espace formaté par un temps naissant d'une intelligence qui s'emboîte 
dans des poupées russes virtuelles allant vers l'infini et la perfection. 




Selon son choix d'évolution, chaque espèce s'avancera à terme vers sa mort ou son évasion interstellaire : 

Ф/(Π-2) : année cosmique en heures. 
Avec (Π-2) 24(1/24) =1,14158644063216342446082936... 
(Π-2)-1=1 dix-millième d'année = 0,875973 heure
~24x365/Ф=0,8760). Un autre Pi =2+24(1/24) 




Un "temps universel" : 
1 heure =(Π-2)0; 1 jour = 24 h=(Π-2)24; l'année : Ф(Π-2)-25 jours = Ф(Π-2)-1 heures.
Né sur le fleuve Bigbang venant de l'Infini, l'homme en s'éveillant situe la Source  à sa portée 
de vue en amont (û=âge de notre univers en a.l.). Mais (û) ne mesure qu'un bout du chemin d'un
fleuve méridien infini derrière. En route vers la Source, les mâts d'une longueur (c) des vaisseaux 
de Lumière se concentrent seulement dans un dernier cône de feu (Bigbang) en disparaissant derrière 
la courbure naturelle du méridien cosmique.  Traversant la Galaxie en ~105 ans, leur lumière nous 
parvient après un temps (û)et l'expansion vitale est de Й=c/û = 2,163  x  10-5 km/s/a.l., une 
vitesse ж ~70,54 km S-1 Mpc-1  conforme aux mesures déjà connues. 1 Mpc=3,26 x 106   a.l.;
 û =13,854 x 10 a.l. = Distance du point de tangence de l'Horizon Alpha d'une sphère 
universelle globale de rayon en croissance vers l'infini, avec l'horizon méridien de
notre univers poupée-russe à l'intérieur. Venant de la Source, un voyageur de
" cet Univers Global Infini" passant sur ce point de tangence à la vitesse c 
verra notre univers défiler sous lui comme une sphère. 

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Rappel  et définition des paramètres
Ces paramètres sont aussi définis ici

(Certains paramètres de cet article sont révisés ici)

BB = Big Bang; b=147098O74 km : demi petit axe de l'orbite solaire de la Terre; c = vitesse de la lumière : 299792,448 km/s; Ф=104 ans : cycle d'anoblissementh = (p/q) : espérance moyenne de vie actuelle; hn=û/c : espérance de vie anoblie; Й c/û =Ф/Π=2,163933946 x 10-5/s/a.l. : constante d'expansion vie; Й-1=û/c=Πb/Ф =46212,13147 : âge de noblesse; ж=vitesse d'expansion entre les galaxies : 3,26 Й x 106=70,54 km/s/Mpcppopulation terrestre actuelle; pn=(Й-1)2 =(û/c)2 : population noble; Ф/(Π-2) = 1 an en heuresq=p/h : croissance humaine actuelle/an; qn= û/c : objectif de croissance noble; Rp=(bc/Ф)4,409 10ans: cycle planétaire au foyer/"âge de la Terre"Rs=(bc/Ф)(Π-1) =9,44x10ans : cycle stellaire au foyer/"durée de vie du Soleil"û=Πbc/Ф 13,854 10ans : cycle universel au foyer/"âge de notre univers"UGI : Univers Global Infini, contenant potentiellement tous les univers locauxщ √(û/c) ~ 215 ans : dernier cycle bio de renaissance en apocalypse; Πconstante espace/temps = 2+24(1/24)=3,141586440 : nouveau Pi.
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Des cycles de renaissance cosmique dans un Univers Global Infini 
(du foyer planétaire, de l'étoile attachée au foyer, de l'univers local...) :

Le nombre de cycles de renaissance est par nature infini et cette liste en rappel n'est pas exhaustive :

щ√(û/c) ~ 215 ans : dernier cycle bio de renaissance en apocalypse.
Ф=10000 ans : cycle d'accès à la conscience cosmique de toute espèce intelligente.
Rp = bc/Ф : cycle planétaire de renaissance d'un foyer de vie = 4,409 10ans
("âge" connu de la Terre ~4,4 10ans).
Rs=(bc/Ф)(Π-1)= 9,44 x 10ans : cycle de renaissance de l'étoile au foyer
(durée de vie prévue du Soleil ~ 9,5 x 10ans)    
û =Πbc/Ф : cycle de renaissance de notre univers local 13,854 x 109ans
("âge" connu de notre univers ~13,798 10ans)

La vie de l'espèce est un parcours d'épreuves de préparation à une métamorphose de renaissance vers une perfection qui s'éloignera toujours en s'en approchant. Une vie consciente est en elle-même ce jeu de piste à la poursuite d'ascendants déjà trop en avance pour être rejoints, mais plus que jamais bienveillants et responsables. Leurs traces purement virtuelles sont à reconnaître sous peine de vie ou de mort par des descendants intelligents prenant à leur tour conscience de leur rôle à jouer en démontrant déjà pratiquement leur capacité de préserver la vie locale. 


Aucune vie durable ne sera accessible à l'homme s'il ne parvient pas 
à passer cette épreuve cosmique à un terme non négociable. 
Il n'y a pas d'autre voie que celle de la Transcendance.  
  

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