mardi 24 décembre 2013

Un modèle angiosperme de conscience


Ariste : Un homme-enfant rêve de battre le plus fort alors que
le seul choix rationnel est celui de Pascal : Article le + récent de l'auteur  sur ce thème ici

On ne reconnait jamais que son semblable, au moins potentiel. Une conscience humaine vivant en apartheid naturel est à la fois le fruit et la graine d'une Conscience Cosmique en éternelle renaissance : Une transcendance encadrée par des voyageurs qui ne permettront jamais à une espèce encore planétairement enfermée de venir les rejoindre avant sa démonstration d'allégeance. Née du hasard ou non, une Chaîne de Conscience constituée de générations d'êtres également avancés progressera ainsi séparément mais toujours en communion vers la perfection. Sans jamais exclure des apocalypses individuelles d'autodestruction et de renaissance. 

Un homme prédateur planétairement enfermé misant sur une neutralité cosmique exclut la Loi plus vraisemblable d'un voyageur qui exigera furtivement que toute espèce moins avancée s'anoblisse ou qu'elle meure. En l'aidant donc à s'anoblir ... ou à se perdre.

La stratégie du choc de Cédric est excellente et la réplique de Michel l'est tout autant. Mais la partie d'échecs engagée sur Terre par le Mal contre le Bien ira jusqu'à l'autodestruction de l'espèce sans un vrai changement de paradigme : l'homme a en effet jusqu'ici fait le choix du Mal en pariant sur sa prééminence en force et en sagesse dans l'univers, et un pari initial mal engagé conduira inévitablement l'humanité entière au pire, comme pour le candidat qui a mal lu son sujet d'examen et qui répond bille en tête à côté de la plaque en s'enfonçant de plus en plus. Il faut rectifier le tir en faisant à temps l'autre pari d'un apartheid cosmique plus vraisemblable, avec l'humanité en bout de chaîne dans l'évolution de l'intelligence et de la conscience dans cet univers. Mais l'homme s'accule au suicide par sa foi irrationnelle dans la réduction naturelle d'un Mal qu'il nourrit par ailleurs. Ce Mal est en effet un déséquilibre qui se propagera comme les métastases d'un cancer dans l'espèce tant qu'il ne sera pas reconnu comme tel et combattu par un Bien, seul paradigme qualifié pour rétablir une balance de vie en vraie communion cosmique.  

Le front extraterrestre des cavaliers troyens d'une oligarchie
suicidaire qui entraîne l'espèce vers un effondrement total

Les choses sont cette fois sérieuses : L'espèce joue sur un vrai terrain d'échecs où un homme prédateur écarte jusqu'ici l'hypothèse d'un égoïsme d'autodestruction seul préparé à finir une partie cosmique mal engagée et déjà perdue. On veut croire jusqu'au Mat final que les cavaliers troyens de l'oligarchie changeront la donne. Mais ils jouent inconsciemment depuis longtemps du côté extraterrestre et leurs dernières charges ne feront que précipiter l'apocalypse. L'humanité doit noblement reconnaître son échec et recommencer la partie pour gagner en combattant le Mal en communion avec le Cosmos. Elle doit changer à temps de paradigme !

Dixit Feu John Connally, Secrétaire US au Trésor : "le dollar, c'est notre monnaie, mais c'est votre problème" ! Voilà plus de 40 ans que la monnaie U$ est ainsi imposée au profit des plus riches comme valeur extraterrestre par des Etats-Unis déjà évadés de l'écosystème, et la survie de l'espèce n'allait pas tarder à être classée de même par une oligarchie apatride placée sous l'égide de l'Occident, USA en tête. Traduite en langage oligarchique, la formule impérialiste devient naturellement :  "L'autodestruction de l'écosystème est bien notre oeuvre, mais demeure plus que jamais votre problème !"

Aux yeux d'une oligarchie passée du côté du Mal, il appartient aux plus démunis de la planète de se préoccuper de la survie de l'espèce, pour peu qu'ils le souhaitent vraiment ! Le jeu de la prédation qu'elle a ainsi institué se poursuivra donc tant qu'il restera plus des à vouloir s'affronter pour s'approprier la meilleure part de butin qu'elle leur aura dédaigneusement laissée. Hitler rêvait déjà d'un monde aryen tenant en esclavage une Europe de l'Est asservie par des forces aériennes délivrant leurs bombes comme des pizzas, mais une oligarchie bien à l'abri en orbite terrestre pourra infiniment mieux réaliser ce cauchemar au niveau planétaire,  ce qu'elle fait d'ailleurs déjà avec ses drones en tous genres (militaires, économiques, idéologiques...). Armés de leurs parures démocratiques éblouissantes, ses cavaliers troyens ont tôt fait de jeter les derniers bébés révolutionnaires avec l'eau toujours un peu trouble de leurs bains. Les possibilités de division des plus démunis sont à priori infinies, et le Capital qui détient les vraies clés du Casino veillera jusqu'au bout à mettre les moyens qu'il faudra en bourrage de crane et en armes pour relancer la partie en toute occasion. La dernière pizza-bombe est déjà en préparation pour le Mat final !

UN DOLLAR DE CHANTAGE ET D'AUTODESTRUCTION

La Fontaine visionnaire : "Les animaux malades de la peste" : Le pauvre, au travail toujours trop cher, est tel l'âne de la fable le seul coupable du Mal !





Une vidéo devenue introuvable en ligne résume bien le problème de ce soutien populaire paradoxal face à la prédation organisée par les plus riches grâce au dollar : un jeune et séduisant oligarque sort en souriant d'une voiture de luxe et lance nonchalamment son trousseau de clés à un SDF de passage, en lui recommandant brièvement avant de disparaître de bien veiller sur son trésor de rêve. Devant cette manne providentielle, le SDF n'en croit pas ses yeux. Mais l'image du dollar transforme vite son rêve américain en cauchemar : il veillera sur ce bien de l'oligarque comme sur la prunelle de ses yeux. Un propriétaire aussi riche lui fera sinon payer au centuple tout dommage subi. Et il peut aussi parier sur 1$ de cadeau lancé de même au retour !



Le complot oligarchique : un choix de salut ou d'apocalypse !

Le Mal naîtra et prospérera donc pour se graver dans la conscience et peu à peu l'éveiller. La voie du salut est ainsi montrée en laissant toujours son libre choix à l'homme, avec la vie elle-même placée sous la protection des seuls plus démunis de l'espèce. Le complot oligarchique sera donc consciemment étouffé dans l'œuf grâce à une science tout entière annexée cette fois pour un maintien de plus en plus bienveillant et complexe de l'ordre établi. Un avortement du cancer de l'espèce sera de la sorte peu à peu programmé pour stopper net la propagation des métastases dans l'ensemble de l'écosystème. Un Mal accumulé pas à pas sera ainsi effacé et remplacé par un Bien tout aussi acharné à progresser vers la lumière. 


LE TRESOR POTENTIEL D'UN CREATIONNISME DE FURTIVITE 
A PRESERVER EN APARTHEID DANS UN SILENCE COSMIQUE ABSOLU

Le Silence Cosmique est bien compatible avec une prééminence universelle choisie par un homme prédateur (solipsisme égoïste). Mais l'espèce veut ignorer que ce Silence est encore plus compatible avec une volonté naturelle de tout voyageur cosmique de se réserver une porte potentielle d'accès à un créationnisme furtif de bienveillance envers toute vie moins avancée, dans un Silence Cosmique Absolu : Une furtivité qu'un prédateur exerce pour sa part contre les plus faibles à des fins de malveillance ! Devant ces deux seules issues (solipsisme ou créationnisme),
l'homme choisit le pari potentiellement destructeur de sa solitude. S'il ne parvenait pas seul à se suicider à temps, des voyageurs interstellaires l'aideront donc furtivement à le faire.   

La conscience humaine ne pourra en effet se déployer tant que l'oligarchie terrestre la gardera enfermée par une force brute sans une égale sagesse. L'homme fera donc sagement le même choix que ceux de son ascendance potentielle en se laissant guider par le respect commun d'un message de bienveillance porté par un Silence Cosmique Absolu, naturel et conscient. 

Le temps de la palabre est passé : tout Bien détourné de la table cosmique cache un crime commis contre la vie, et une science assagie parviendra donc à l'éradiquer. L'espèce changera de paradigme, ou se laissera bêtement mener au suicide derrière une oligarchie par nature extraterrestre et inconsciente. 


Un défi naturel de vie ou de mort pour l'espèce :
Se prouver enfin mutuellement qu'on s'aime
Sans jamais se renier individuellement !
Ou ... se laisser mourir bêtement ! 

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